Jour après jour, il s’étend une ombre sur les pages. Des figures de loup ou de renard. Mordantes assoiffées Trépignantes d’inconnu Et le soleil noir se lève.
Autour, le monde a revêtu sa fixité.
Est-ce pour ne pas déranger les morts ?
Il y a tellement de portes aujourd’hui qu’on ne sait plus laquelle fermer, laquelle ouvrir.
Les morts sont loin, les vivants aussi.
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