L’olivier regarde la colline
Il se penche
Les prêtresses du temps les cigales s’activent depuis le jour
qui prend fin ce soir.
Ici chacun s’affaire
Même si le temps n’existe pas.
Tous les jours ont été ôtés, te souviens-tu?
Ici, rien ne fait rien.
Et si l’olivier porte encore son nom
Est-ce peut-être en forme de troc avec celui qui regarde.
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