Avez-vous remarqué qu’on peut lire un texte, sans rien lire de sa suite ; sans rien décoder, continuant la lecture mécanique comme le sillon sur sa dague. Cette phrase ne veut rien dire, mais après tout, pourquoi pas. Les cloches sonnent les vêpres une fois par mois. Et ce genre de souvenir me fait voir l’onduleux pas des vaches. La tâche est tombée sur ma chemise ; je suis étourdi c’est ma faute. Je lis sans faire attention. Le livre disparaît à nouveau, nous sommes au soleil, il fait parasol. Personne ne peut toucher le soleil, mais tout le monde peut s’embrasser avec la langue. Ce n’est pas une question d’origine, mais d’impulsion de départ, quand les cartes sont redistribuées, comme au billard. On frôle le strike.
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