Cesse de marcher comme si quelque chose te poursuivait.
Vois, l’azur autour de toi,
Le ciel bleu sous tes pieds,
Même les nuages. Et tous ces voyageurs qui encombrent ta route,
Ne sont-ils pas des rochers, dont la biquette agile à laquelle tu ressembles,
se joue ?
Allons donc. Ne te presse pas,
Ni d’un fil, ni vers l’autre.
Sois le funambule de l’azur,
Il suffit de mettre un pied devant l’autre.
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