Nul signe — et pourtant. Cela s’arrêterait ici. Mais il manque un rivage, un endroit où déposer l’étranger, un lieu où il puisse respirer — avec nous, — synchrone, à pleins poumons. Un lieu qui lui rappelle l’état et non la traversée. Un point fixant la mémoire, une partie du trésor quand ce dernier vient à manquer, que le soleil s’éloigne, et que la nuit nous enfonce plus en elle déployant ses pièges.
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