Quoi rend le poème ?
Le poème joue les prolongations
Mais le merveilleux lui se tait ;
L’arbre ne dit rien. Il est.
Le poème serait comme le coquillage
Ajoutant celui qui le saisit devant la mer.
L’arbre dans la rue,
situé devant la devanture du restaurant,
ne dit rien. Il est.
Dieu, quel vertige à présent.
L’arbre me fait une passe.
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