L’espace sauvage entre à nouveau.
Il suffit d’un peu de vert dans le verre train. 
La verdure est dedans
puisque le verre est dedans,
puisque toute la scène est dedans avec la Seine en sus, elle-aussi devenue sauvage.
Pourquoi dirais-je « devenue » et non « redevenue sauvage » : puisque l’état ne va jamais de soi, est instable, est la partie merveilleuse du miroir quand il se tourne montrant sa cache avant qu’il ne revienne à son état d’équilibre.
J’écris « revienne » et non « vienne »,
Dans cet ouvert encore où vers
Un instant.