Le réel est subversif, dis-tu. Comme les fleurs. Tu aurais aimé tout contenir, dis-tu. Comme la branche. Tant pis pour ce qui déborde, soupires-tu. Tu t’émerveilles des morceaux de feuilles que ta main contient, parmi des tickets de métro, et des fourmis, trouvés au fond des poches. C’est déjà beaucoup, dis-tu ; et peu, en levant les yeux. Tes yeux se ferment. L’issue est dans les rêves, dis-tu. On suppose un monde. Le jour comprendra.
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