Toujours ce même paysage
L’ –aur–ai-je épuisé ?
Toujours cette nuit, confortable
un luxe – jusqu’à quand ?
Tout tient retient revient d’un équilibre subtil – jusqu’à quand ?
Regarder le paysage qui défile : une conquête simple, la victoire des humbles
Mais si en plus un arbre fleurit, si en plus le paysage se poursuit, la seconde d’après, n’est pas avare de ses richesses ;
Et le poète gagne une virgule comme l’autre une pièce d’or.
Il bruine.
Dans la fenêtre du train, le seconde d’après est l’espoir de la seconde d’avant.
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