Il y a tous ceux qui roulent sur l’or,
Et celles et ceux qui roulent sur le mais, sans parenthèse ni couvercle.
Les premiers scintillent
Parmi les soleils qui se succèdent, dans la vie du coeur simple.
Tendre. Et le second, l’étau le serre.
Il ne restera plus grand chose, qu’à se redresser,
Et inventer un autre rythme.
Souviens-toi du poème.
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