L’époque colle à la peau, comme une boue
malodorante. Les enfants courent sur le chemin
avec leurs lumières qui courent dans tous les sens.
Souviens-toi du volume, de l’ère de la nuit ;
Et les mots qui restent, il faut les espérer sincères, bien secs,
Et les voir tomber comme on tape des semelles.
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